Revue n° 51-52, 2005
Au Royaume-Uni, les bahá’ís favorisent le dialogue sur la mixité raciale — Répondant aux préoccupations nationales, la communauté bahá’íe du Royaume-Uni a lancé un débat approfondi sur les mesures à prendre pour apaiser les tensions qui se font jour alors que le pays devient de plus en plus multiracial. L’enjeu moral de Beijing + 10 — Les statistiques permettent de donner une vision d’ensemble mais les histoires individuelles sur la charge qui pèse quotidiennement sur les femmes à travers le monde remuent davantage les consciences que les études les plus savantes. En Ouganda, l’éducation pratique est le gage du succès de l’alphabétisation — ONGIDO, Ouganda — Lorsque ses enfants avaient des crises de paludisme, Judith Kojjo avait l’habitude d’aller voir un marabout. Le Parlement des religions examine les relations entre les confessions après le 11 septembre — BARCELONE, Espagne — Une ombre planait visiblement sur le Parlement 2004 des religions en raison de la violence et du terrorisme international, notamment après les événements du 11 septembre 2001. Droits de l’homme en Iran : pas de condamnation de l’ONU ; Les bahá’ís sont inquiets — GENEVE, le 15 avril 2005 — Consternée par l’absence de résolution sur l’Iran à la Commission des droits de l’homme de l’ONU, la Communauté internationale bahá’íe craint que le sort des bahá’ís dans ce pays ne s’aggrave encore. Une conférence en Australie s’intéresse à la « bio recherche » et au savoir des aborigènes — SYDNEY, Australie — Les D’harawal, dont les terres ancestrales se trouvent à environ une heure de route de cette métropole, utilisent non moins de 1 794 plantes à des fins médicinales. Deux cinéastes hors du commun offrent un film optimiste — LE CAP, Afrique du Sud — En travaillant sur des projets d’inspiration bahá’íe, les cinéastes Mark Bamford et Suzanne Kay ont eu l’envie de tourner un film qui sortirait des sentiers battus. A l’ONU, des « personnalités éminentes » considèrent que l’émergence de la société civile est un fait « marquant » — NATIONS UNIES — A mesure que le monde devient de plus en plus complexe et globalisé, l’ONU doit compter davantage sur la société civile et faciliter l’accès de cette dernière aux délibérations de haut niveau jusqu’alors restreintes aux gouvernements. 80 hommes pour changer le monde — 80 hommes pour changer le monde – Entreprendre pour la planète
Sylvain Darnil Mathieu Le Roux
JC Lattès
Paris, 2005
Imaginez un monde…
Où une banque permet aux trois quarts de ses clients de se sortir de l’extrême pauvreté tout en étant parfaitement rentable…
Où un hôpital soigne gratuitement deux patients sur trois et fait des bénéfices…
Où les agriculteurs se passent de produits chimiques tout en augmentant leurs rendements…
Où les emballages sont biodégradables et nourrissent la terre au lieu de la polluer…
Où un entrepreneur de textile qui refuse les délocalisations parvient à doubler son chiffre d’affaires tout en payant ses employés deux fois le salaire minimum…
Ce monde existe. |